Petit-Goâve – Justice populaire : Lynchage du dangereux Jerry Anderson LECONTE après son arrestation spectaculaire

Petit-Goâve, le 20 Janvier 2025 – Le P’tit Journal Haïti

Un incident grave s’est produit, dans l’après-midi de ce lundi 20 janvier 2025, après l’arrestation spectaculaire du dangereux Jerry Anderson LECONTE dans la commune de Petit-Goâve pour kidnapping et assassinat contre les citoyens. En effet, la population locale a pris de force ce malfrat, puis l’a attaché son corps à un véhicule pour le traîner dans les rues avant d’être tué. Connu sous le sobriquet Ti Leconte, il était un ancien policier rebellé devenu chef de gang notoire qui aurait opéré dans cette juridiction. Cet acte crapuleux met en lumière la revolte populaire contre les bandes criminelles qui terrorisent les citoyens, selon les Petits-goâviens interrogés par notre Correspondant sous-régional.

Lors de la capture du gangster Jerry Anderson LECONTE par des agents d’unité spécialisée, il aurait commis des infractions graves et répréhensibles selon la législation haïtienne en la matière. Des membres de la population civile, étant très en colère, ont ainsi lynché ce malfrat après son arrestation dans cette commune. Par ailleurs, le dangereux Ti Leconte était activement recherché par la police judiciaire départementale. Cette dernière renouvelle toutefois sa volonté manifeste et sa vive détermination à combattre le grand banditisme et la criminalité à grande échelle dans la Région des Palmes.

Entre temps, les autorités policières et judiciaires travaillent conjointement dans la juridiction de Petit-Goâve, marquant une franche collaboration étatique pour maintenir l’ordre et la paix publics. Après le lynchage du gangster patenté Jerry Anderson LECONTE, alias Ti Leconte, la police locale a alors ouvert une enquête judiciaire pour déterminer et rechercher les présumés coupables de ce crime abominable, exhortant la population civile à abandonner la justice populaire mais à collaborer avec l’institution policière, comme le veulent les lois républicaines.

Le P’tit Journal Haïti