Haïti – Sécurité : Le Parquetier James JEAN-LOUIS a interpellé six (6) présumés bandits armés à Camp-Perrin

by Samuel JosephSamuel Joseph
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Cayes, le 22 Juillet 2024 – Le P’tit Journal Haïti

Par Samuel JOSEPH

À Camp-Perrin, le Parquetier James JEAN-LOUIS a interpellé, dans la nuit du 21 au 22 juillet 2024, six (6) individus armés. En effet, le Chef du Parquet des Cayes dit avoir réalisé ce coup de filet de concert avec les autorités policières régionales. Lors de cette opération conjointe, deux (2) armes à feu, deux (2) machettes, une (1) motocyclette et plusieurs munitions ont été également confisquées, selon les autorités judiciaires, annonçant d’autres opérations musclées contre tous les malfrats qui cherchent à terroriser les citoyens. Plusieurs chefs d’accusation, dont détention illégale d’armes à feu, braquage, tentative d’assassinat, association de malfaiteurs, sont retenus contre eux alors ils sont entre les mains de la Police Judiciaire départementale, selon notre Correspondant régional citant des sources judiciaires.

Les autorités judiciaires ont mis aux arrêts six (6) individus accusés de détention illégale d’armes à feu, vol à mains armées, assassinat, tentative d’assassinat, braquage et association de malfaiteurs. Il s’agit, entre autres, des nommés Nicolas BORNÉUS (67 ans), Dominique BORNÉUS (32 ans), Jameson NICOLAS (34 ans), Jimmy NICOLAS (36 ans), Patrick BORNÉUS (34 ans) et Alin ALEXIS (35 ans) qui font l’objet de plusieurs chefs d’accusation réprimés par la législation haïtienne en la matière. À en croire le Parquetier James JEAN-LOUIS a déclaré que le parquet de sa juridiction est très déterminé à combattre le grand banditisme et la criminalité à grande dans sa juridiction. « Les bandits notoires n’ont pas leur place dans la juridiction des Cayes. Le Parquet et la Police se mobilisent pour les traquer et appréhender au bon moment afin de les déférer par devant la justice répressive », a défendu le Chef de la poursuite devant les caméras de la presse Cayenne.

Dans la foulée, la vague de violence armée et gangstérisée sévissant à Port-au-Prince a provoqué des déplacements massifs vers le Grand Sud. Des présumés bandits notoires cherchent à se faufiler dans la juridiction des Cayes pour poser leurs tentacules au détriment des citoyens. Néanmoins, les autorités régionales doublent leur vigilance et se positionnent en mode de combat antigang afin de protéger leurs communautés respectives. Les Chefs de Parquet créent des cellules en permanence, alors que les forces de l’ordre multiplient leurs patrouilles, interventions et/ou opérations musclées pour les actes de banditisme et de criminalité.

 

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