Dr. Pierre Réginald BOULOS, un leader politique responsable

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Réginald Boulos

Port-au-Prince, le Vendredi 7 Mai 2021 – Le P’tit Journal Haïti.

Entrepreneur de son état, médecin de formation, spécialiste en santé publique et homme politique. Monsieur Pierre Réginald BOULOS est le leader du parti « Mouvement pour la Transformation et la Valorisation d’Haïti ». Dans son crédo et à travers ses différentes prises de position publiques, l’homme d’affaires haïtien n’a jamais caché sa grande vision politique axée sur l’éducation, la santé, la sécurité, l’agriculture et l’agro-industrie pour mettre Haïti sur les rails de développement. Ainsi dit, il exhorte le peuple Haïtien à emboîter le pas avec son équipe bourrée de jeunes talentueux, cadres (professionnels et universitaires) et entrepreneurs soucieux et patriotes, qui sont prêts à relever notre sous-développement.

Par ailleurs, Docteur BOULOS est l’un des premiers hommes d’affaires ayant vivement critiqué et pris position contre la classe à laquelle il appartient. Également il dénonce une frange de la bourgeoisie haïtienne qui, en complicité avec l’État haïtien, accapare presque toutes les richesses nationales au détriment de la collectivité et, d’autre part, qui piétine, de plus en plus, la classe moyenne à sa manière. Pour cela, le leader de MTVAyiti défend l’idée pour l’intégration de nouvelles têtes pensantes dans l’échiquier politique, avec de nouveau projet de société, ainsi que de nouveaux entrepreneurs au sein de l’élite économique du pays.

Conscient et très préoccupé par le malheur d’Haïti daté depuis plus de deux cents (200) ans, l’homme politique et son parti veulent alors apporter leur contribution capable de relever nos défis, notamment ceux jugés les plus urgents: sécurité, agriculture, éducation et travail. « Il y a encore de l’espoir pour Haïti, particulièrement notre jeunesse », soutient le responsable de la Universal Motors, dénonçant énergiquement le système le système sociopolitique et social mafieux. « Haïti a besoin des dirigeants visionnaires, soucieux, responsables, expérimentés, disciplinés ainsi que des serviteurs qui sont véritablement à l’écoute de leur population », défend le patron de Délimart.

Entre temps, le Gouvernement haïtien de facto et une partie de la presse locale s’est enflammés suite à l’utilisation du diminutif « Ti Claude JOSEPH » utilisé par le numéro un (I) de MTVAyiti, lors de son intervention sur les ondes de la « Voix de l’Amérique (VOA), le mardi 4 mai dernier. Parallèlement, à travers une note de presse émanant du bureau du Secrétaire d’État à la Communication, le pouvoir en place a estimé qu’il s’agit d’un propos « raciste » émis à l’encontre du Premier Ministre intérimaire et de facto, le Docteur Claude JOSEPH.

Appeler quelqu’un par « Ti …. » veut dire automatiquement que l’auteur (e) est raciste?

À quoi. Dr. Pierre Réginald BOULOS voulait-il faire allusion?

S’agit-il d’un chantage gouvernemental pour endormir la population sur ses vrais problèmes?

Tout compte fait, le Docteur Pierre Réginald BOULOS et sa structure politique ont éclairci le Chancelier haïtien sur ses propos. Le spécialiste en santé publique, selon ses dires, en a ainsi appelé le concerné dans un langage courtois et amical alors il a regretté ce matraquage médiatique visant à l’attribuer à un homme raciste.

De toute façon, il est important de souligner certaines faiblesses existant dans la presse locale à travers ses différentes émissions et analyses du discours. À tort ou à raison, de nombreux confrères et de nombreuses consœurs se contentent de dire ou d’écrire n’importe quoi. Au lieu de s’asseoir pour disséquer les informations et vérifier l’authenticité de leur source, ils (ou elles) se lancent souvent dans ce que nous appelons « Kiyès kap lage nouvèl sa anvan tout lòt medya nan Larepiblik ».

Où allons-nous avec notre société actuelle?

Continuons-nous de prôner la discrimination raciale et les préjugés de couleur?

Donc, le patron du Group Délimart se dit démarqué de toute forme de discrimination et de préjugés de couleur dans notre pays. Fondateur de plusieurs centres de santé et écoles classiques au niveau de certaines régions du pays, notamment dans les communes de Cité-Soleil (Ouest) et de Cap-Haïtien (Nord), le dirigeant politique plaide en faveur d’une justice sociale et d’un État de droit où les institutions républicaines sont fortes et jouent, véritablement et sans crainte, leur rôle dans un régime démocratique.

M. Samuel JOSEPH

[email protected]


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